LA VIROLOGIE DEMONTEE PIECE PAR PIECE

Toutes les preuves que cette pseudoscience ne résiste pas à un examen scientifique approfondi

INTRODUCTION DE TAL :

Cette émission de Kla.TV apporte les preuves que donnent les livres UN RHUME, ÇA S’ATTRAPE! VRAIMENT ?

Et si le rhume et la grippe n’étaient pas réellement contagieux ? Dans cet ouvrage percutant, Daniel Roytas remet en question l’un des piliers de la médecine moderne en s’appuyant sur des centaines d’études scientifiques oubliées — et propose une lecture radicalement nouvelle de la maladie comme processus naturel de détoxification.

DANIEL ROYTAS

Depuis votre plus tendre enfance, vous avez sans doute appris que le rhume et la grippe se transmettent par des virus contagieux. Mais cette théorie est-elle réellement prouvée ? Dans ce livre, Daniel Roytas nous plonge au coeur des recherches scientifiques et expériences oubliées pour questionner l’un des dogmes les plus ancrés de la médecine moderne. 

À travers une analyse minutieuse, l’auteur révèle que de nombreuses études n’ont jamais réussi à démontrer la transmission d’un rhume ou d’une grippe d’un individu à un autre. Alors, pourquoi tombons-nous malades ? L’explication pourrait se cacher ailleurs : dans notre environnement, notre état psychologique, nos habitudes de vie et même notre propre corps, qui pourrait utiliser la maladie comme un processus naturel de détoxification. 

« La peur de la contagion a façonné notre manière de vivre, de penser et d’interagir avec les autres. Mais que se passerait-il si cette peur reposait sur une croyance erronée ? » 

Avec plus de 1 000 références scientifiques, ce livre vous invite à ouvrir les yeux sur une réalité méconnue et à repenser la santé sous un nouveau prisme. Un ouvrage qui bouscule. Essentiel pour quiconque cherche à comprendre le véritable fonctionnement du corps humain. 

 

NE CROYEZ PLUS AUX PANDÉMIES !

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Et encore

Maladies contagieuses ?

extrait du blog de Tal 133  (www.santeglobale.world)

Odysee : Terrain Le Film – Documentaire Complet

TERRAIN expose la tyrannie de la fausse pandémie mondiale, fondée sur le modèle erroné de la maladie connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé qui fonctionne en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défectueux.

TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement.

La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations.

La deuxième partie de TERRAIN explore les conséquences globales de l’adoption d’un modèle de santé non viable basé sur la théorie des germes et ouvre la porte à un biome synergique d’autocorrection et de guérison connu par tous les êtres vivants sous le nom de théorie du terrain.

Pour soutenir et en savoir plus sur le projet : https://terrainthefilm.com/

Note de TAL : Ce film est vraiment REMARQUABLE car il montre de manière détaillée comment toute la virologie, la vaccinologie et la guerre contre les microbes instaurée par Pasteur n’ont AUCUN FONDEMENT SCIENTIFIQUE ! Je me suis régalé en écoutant les grands ténors du terrain (Kaufmann, Cowan, Lanka et autres) décrire comment les scientifiques ont perdu toute éthique en manipulant des éléments de base pour les baptiser « virus » sans preuves ! Ils ont appelé « isolement » des manœuvres qui donnent naissance à des artefacts et ont utilisé des modèles informatiques pour créer des « virus » qui n’existent pas ! Ils ont créé une pseudoscience qui ne repose que sur du vent….

Chers téléspectateurs de Kla.TV !

Marvin Haberland, porte-parole de Next Level, explique dans une interview avec Kla.TV que la recherche sur les virus n’a jusqu’à présent pas pu fournir de preuves scientifiques de l’existence du virus. De plus, on n’a jamais pu expliquer scientifiquement comment fonctionne la contagion. En effet, d’innombrables tentatives de contagion ciblées ont lamentablement échoué. Et pourtant, la médecine et la recherche pharmaceutique prétendent savoir exactement ce qu’il en est.

www.kla.tv/37370 Interview #SanteMedecine #Societe #Maladies

                                               Dialogue de la video [Kla.TV :] Aujourd’hui, nous recevons un homme qui ébranle les fondements de la science médicale. Quelqu’un qui prétend que les virus n’existent pas. Ou du moins qu’il n’existe aucune preuve utilisable. Un je-sais-tout notoire ? Un ésotériste déjanté ou même un révisionniste radical ? Nous verrons bien. Sur le site web de sa plate-forme Next Level, les thèses suivantes sont formulées : “Nous suivons la voie d’une remise en question courageuse et d’une nouvelle réflexion. Nous examinons les questions virologiques et médicales avec un regard neuf, en identifiant les contradictions et en exigeant l’authenticité. Nos affirmations reposent fermement sur des sources vérifiables et constituent la base solide d’une discussion constructive. Nous restons ouverts aux perspectives innovantes et encourageons l’auto-examen continu de la science.” Une approche noble ! Accueillons dans le studio de Kla.TV l’attaché de presse de Next Level, M. Marvin Haberland. Bienvenue ! [Marvin Haberland :] Bonjour et merci beaucoup pour l’invitation. [Kla.TV :] Oui, Avec plaisir ! D’un côté, ça a l’air passionnant. Monsieur Haberland, cette revendication est noble, utile, mais d’un autre côté, la question se pose : est-ce vraiment nécessaire au vu de la question du virus ? La question des virus n’est-elle pas résolue depuis plus d’un siècle et prouvée de manière irréfutable par d’innombrables travaux de recherche ? Pourquoi remonter la roue du temps, pour ainsi dire, comme s’il n’existait pas de recherche approfondie sur les virus ? [Marvin Haberland :] Oui, c’est une bonne question. Si nous appliquons les critères que vous avez formulés ou lus au début à n’importe quel sujet, alors nous ne pouvons pas faire d’exception. Mais si nous les appliquons à la virologie et que nous examinons les publications des virologues, que nous examinons leur travail et que nous examinons également les résultats, pour ainsi dire, qui proviennent de la virologie, comme par exemple les médicaments, les vaccins ou les recommandations, pour voir s’ils sont scientifiques, alors des problèmes dramatiques apparaissent, qui sont liés à la méthode scientifique. Et c’est de cela que nous allons parler aujourd’hui. [Kla.TV :] Oui, mais il ne fait aucun doute que des virus ont été trouvés et nous ont été présentés dans les médias et les publications spécialisées. J’ai apporté ici quelques images du virus de la langue bleue, du virus VIH, du virus de la variole, du coronavirus. Qu’en est-il de ces réalisations révolutionnaires ? C’est pourtant une preuve, noir sur blanc. [Marvin Haberland :] Donc si on commence avec l’hypothèse que par exemple deux personnes peuvent s’infecter mutuellement, alors je dois faire une expérience en conséquence qui appuie ou confirme mon hypothèse. Et en virologie, on dit justement que les petites particules passent de A à B, par exemple par l’air, et que ces petites particules infectent ensuite quelqu’un. Cela signifie que je dois démontrer toute cette chaîne de causes et d’effets pour confirmer cette hypothèse. Ces images ne sont pas le résultat d’un tel essai ou d’une telle expérience, mais les images que vous avez montrées ici sont le résultat d’expériences menées par des virologues en laboratoire – donc pas in vivo, sur des êtres humains, mais sur des cultures cellulaires en laboratoire – en prenant des cultures cellulaires, en général de singes, de tissus rénaux de singes, puis en les empoisonnant et en les affamant. C’est alors que ces images apparaissent. On appelle cela, entre autres, l’effet cytopathique. Mais la vérité, c’est que si on refait la même expérience avec des tissus sains provenant d’animaux sains, ou si on n’ajoute pas d’échantillon provenant de malades, on obtient exactement les mêmes images. Ce serait ce qu’on appelle l’expérience de contrôle en science ou le contrôle négatif. Cela devrait en fait permettre de dire que c’est le concept, la configuration de l’expérience dans mon laboratoire qui produit en soi ce résultat. Cela signifie que si je fais une expérience et que je prends des échantillons sains, j’obtiendrai exactement les mêmes images. Mais les virologues ne font jamais ça. Ils font toujours un seul essai, photographient ensuite ces images et prétendent qu’il s’agit d’agents pathogènes. Mais ils n’ont pas du tout montré, premièrement, que ça n’apparaît spécifiquement que chez les malades et, deuxièmement, que ces structures, ces éléments, déclenchent effectivement la maladie. Parce que dans une étape suivante, une image seule n’est pas une preuve que la particule ou la structure déclenche la maladie. Je pourrais montrer une maison détruite et dire que les dégâts ont été causés par un tremblement de terre, mais l’image seule ne peut pas le prouver. Il se peut en effet que ce soit une autre cause qui ait produit le dommage. Cela signifie qu’après avoir photographié cette image et montré que ça n’arrive effectivement que chez les malades, je ne trouve pas ces éléments chez les personnes en bonne santé, je devrais ensuite isoler ces éléments. Puis, dans une prochaine expérience, les donner à des animaux ou à des humains et observer : Aha, ils tombent malades en ce moment même avec les mêmes symptômes si je leur donne ces éléments. Les virologues ne font pas non plus cela, à aucun moment. Le travail se fait donc exclusivement en laboratoire. Des cultures cellulaires sont empoisonnées, affamées par des antibiotiques et ainsi de suite, et il en résulte alors ces effets qu’on appelle justement des effets cytopathiques. Comme je l’ai dit, ils se forment exactement de la même manière, de façon non distinctive, même dans les tissus sains. Et il est écrit dans de très, très nombreuses études virologiques, publications virologiques, justement au début de la virologie moderne, dans les années 40, 50, et ça a été publié des dizaines de fois par la suite, que cet effet se produit également lorsqu’on utilise des tissus sains. Et les virologues évitent systématiquement depuis les années 80, 90 de contrôler ces essais avec des tissus sains. Cela ne se fait plus. En revanche, j’ai fait de nombreux échanges de correspondance. Pour cela, j’ai fait de très nombreuses demandes en vertu de la loi sur la liberté de l’information ou de (ce qu’on appelle) les Freedom of Information Acts. Dans le monde entier, au niveau international, l’Institut Robert Koch, le Public Health Service en Angleterre, en Italie, le CDC en Amérique, l’Institut Pasteur en France, l’Université de Melbourne en Australie, l’Institut Doherty et ainsi de suite. Pour toutes sortes de virus, la rougeole, le SRAS-CoV-2, le VIH. Et à chaque fois, le message est : “Non, nous ne faisons pas d’expériences de contrôle, de contrôles négatifs avec du matériel sain.” On ne le fait pas, c’est catégorique. [Kla.TV :] Mais s’ils sont conscients de cette différence, quelle est leur explication ? Pourquoi ne le font-ils pas ? Est-ce qu’ils disent : “Bon, nous avons réglé ça dans les années 40, ce n’est plus nécessaire.” ? [Marvin Haberland :] Alors les réponses sont différentes. Parfois, la réponse est qu’on n’a pas les moyens de réaliser ces expériences. Qu’on se concentre entièrement sur les expériences positives. C’est par exemple la réponse donnée maintenant par l’Australie pour le SRAS-CoV-2. Dans d’autres cas, comme celui de la fièvre aphteuse à l’Institut Friedrich Loeffler, on nous a répondu que ce n’était pas nécessaire, car on avait déjà prouvé par d’autres méthodes, des méthodes indirectes, que l’échantillon contenait un virus. Et ce sont des excuses si courantes, je vais juste dire, qu’on entend souvent. Mais elles ne sont pas scientifiquement satisfaisantes et elles violent aussi la méthode scientifique qui, selon la loi allemande sur la protection contre les infections, est également obligatoire pour tous les virologues et les institutions dans son § 1. Il y est en effet stipulé que tous doivent travailler selon le niveau actuel de la science. Et la communauté de recherche en Allemagne définit pour tous les scientifiques ce que sont réellement les règles du travail scientifique. Et il y est clairement stipulé que nous devons contrôler les contrôles négatifs ou nos méthodes, que nous devons tout documenter afin que tout le monde puisse le comprendre. Et c’est tout simplement complètement bafoué en virologie. Et si on fait des contrôles, ce que nous avons nous-mêmes publié par exemple, nous avons publié des expériences de contrôle, où l’on met du matériel, du matériel sain, exactement avec les mêmes antibiotiques que ceux utilisés par les virologues, exactement avec les mêmes techniques d’affamement que celles utilisées par les virologues, alors on obtient exactement ces mêmes effets. Et cela a bien sûr été publié à plusieurs reprises dans le passé par les virologues eux-mêmes, mais comme je l’ai dit, nous parlons justement de la période des années 40 aux années 60, 70, mais depuis les années 80, 90, cela ne se fait tout simplement plus. [Kla.TV :] On parle toujours de virus. Pourquoi y a-t-il des antibiotiques dans ces cultures cellulaires ? Qu’est-ce qu’ils font là ? [Marvin Haberland :] Oui, c’est aussi une bonne question, très, très importante. Dans ces expériences de culture cellulaire en laboratoire, les virologues utilisent des antibiotiques parce qu’ils veulent désinfecter la culture cellulaire. Vous voulez éviter que des bactéries ou d’autres micro-organismes n’influencent l’expérience. Ils veulent que seuls les virus, qui ne vivent pratiquement pas, ce ne sont pas des êtres vivants, ils veulent que seuls ces virus réagissent. Et tous les autres micro-organismes, ils veulent pour ainsi dire les détruire, les éliminer. Mais les virologues oublient souvent que les antibiotiques constituent en soi un stress important pour les tissus, pour cette culture cellulaire. Et l’apport d’antibiotiques, on en utilise généralement deux, la pénicilline et la streptomycine en combinaison, qui provoquent déjà un stress de la culture cellulaire et cet effet, l’effet cytopathique, où la culture cellulaire se dissout et qui nous est ensuite présenté comme une image virale. Il y a aussi des déclarations de virologues dans la correspondance, y compris d’institutions comme l’Institut Friedrich Loeffler, qui sont très claires à ce sujet : C’est bien connu. Les virologues le savent, les antibiotiques sont problématiques pour les tissus et peuvent provoquer cet effet cytopathique. Et c’est pourquoi on est scientifiquement obligé de présenter un contrôle où on ajoute également des antibiotiques à un échantillon sain, et cela non plus n’est jamais fait. [Kla.TV :] Cela signifie que même avec les méthodes les plus modernes et sous les meilleurs microscopes électroniques à balayage, on voit les mêmes effets chez les personnes en bonne santé et chez les malades. [Marvin Haberland :] Oui. [Kla.TV :] Il n’y a pas de différence ? [Marvin Haberland :] Il n’y a pas de différence, il n’y a pas de différence. Il y a un autre point que la société de recherche allemande exige, qui n’est jamais appliqué en virologie, et c’est l’étude à l’aveugle. En fait, il serait important que les virologues du laboratoire ne sachent pas quel échantillon a été infecté et quel échantillon provient d’une source saine, par exemple, afin qu’ils n’aient pas d’opinion préconçue. Cela non plus n’est réalisé à aucun moment dans tout le secteur de la virologie. Cela signifie que nous avons en fait plusieurs violations de la méthode scientifique. L’absence d’expériences de contrôle, l’absence de documentation complète et l’absence d’étude à l’aveugle, et tout ça est constamment violé – y compris par l’Institut Robert Koch. Et comme je l’ai dit, il ne s’agit pas seulement d’une critique de la méthode scientifique, mais nous savons que si on fait ces essais de contrôle, le même résultat apparaît de manière non distincte. C’est la réfutation directe et la falsification de la virologie – en tout cas de cet effet. Jusqu’ici nous avons parlé de ces images, des expériences de culture cellulaire. Les virologues procèdent ensuite à une deuxième étape, à savoir le séquençage du génome, comme certains spectateurs l’ont peut-être déjà entendu. On essaie alors de découvrir le génome ou l’information génétique d’un virus. Tout cela se fait quasiment avec un modèle informatique. Il s’agit d’une pure simulation sur ordinateur via des programmes de logiciels. Ça n’a rien à voir avec un séquençage vraiment réel et, là encore, aucun contrôle n’est effectué. Et il faudrait encore séquencer la culture de cellules saines qui provoque également ces effets. Et voilà, quand on fait ça, on trouve les mêmes génomes, les mêmes virus aussi dans la culture de cellules saines. Cela signifie que je peux calculer tous les virus à partir d’une culture de cellules saines que j’ai empoisonnées avec des antibiotiques et que j’ai affamées. Je peux tout aussi bien y trouver le VIH avec le programme informatique. Je peux tout aussi bien y trouver le SRAS-CoV-2, les variantes du SRAS-CoV2. Et je peux encore simplifier tout ça en soumettant cette culture cellulaire à certaines étapes supplémentaires, comme par exemple dans une PCR, où j’amplifie pour ainsi dire cette culture cellulaire. Cela signifie que je multiplie simplement le matériel. Il est alors encore plus facile pour le programme informatique de trouver les virus, c’est-à-dire de les calculer. Et nous critiquons tout cela parce que nous voyons que si nous le contrôlons correctement, comme cela devrait être fait, scientifiquement, alors nous contredisons, nous réfutons les déclarations des virologues. Et – tout ça semble assez compliqué, il faudra peut-être l’écouter encore une ou deux fois – mais voici maintenant le point le plus simple et le plus important, qui devrait être absolument logique pour tous les spectateurs. Indépendamment de ces images qu’on nous montre toujours, et des expériences de culture cellulaire et du séquençage du génome sur ordinateur – totalement indépendant : Toutes les expériences de contagion jamais réalisées dans l’histoire ont échoué ; c’est-à-dire que je réunis des biens portants et des malades, qu’il s’agisse d’animaux ou d’humains. Toutes ! Cela signifie que chaque fois que j’essaie de manière contrôlée de réunir des malades et des biens portants dans une expérience et de prouver la contagion, ça ne fonctionne jamais ! Et c’est encore une fois une réfutation directe de la virologie. [Kla.TV :] Oui, peut-être indirectement. Mais vous ne pouvez pas dire qu’il n’y a pas de virus qui provoquent des maladies, alors qu’on voit ces contaminations. Enfin, on le voit dans les classes. Un enfant est malade, un autre enfant est malade, les enseignants sont malades, la moitié de la classe est vide. Nous venons d’avoir ça à nouveau. Comment cela peut-il arriver ? S’il est prouvé qu’il n’y a pas de bactéries en jeu, mais ces symptômes non spécifiques auxquels on est souvent confronté, mais qui se répètent toujours. C’est en effet un tableau clinique typique qui apparait alors. Comment l’expliquez-vous ? [Marvin Haberland :] Oui, lorsque nous observons ces choses, des hypothèses scientifiques voient le jour. Par exemple, ce sont maintenant des particules ou des virus qui sautent. C’est une super bonne hypothèse. Mais quand on la teste, elle ne fonctionne pas. Il nous faut donc plus d’idées, plus d’hypothèses. Nous y avons bien sûr beaucoup réfléchi. Si ce ne sont justement pas les virus, qu’est-ce qui pourrait être en cause ? Des germes ? Nous en arrivons clairement, dans le cadre d’études scientifiques, à des points tels que l’alimentation, les influences environnementales, les toxines, l’exposition aux influences extérieures. Les sources de rayonnement, les causes psychiques, le stress sont bien sûr également envisageables. Ce sont toutes des causes qu’on peut aussi très bien vérifier expérimentalement, par exemple dans n’importe quelle expérience. Je peux générer des symptômes uniquement par l’alimentation. Je peux induire des tumeurs par le biais de toxines. Je peux induire des tumeurs avec des expériences avec les ondes. Je peux activer ou désactiver des symptômes en appuyant sur un bouton via ces variables. Cela signifie que nous connaissons déjà assez bien de nombreux symptômes, la manière dont nous pouvons les produire dans l’expérience, ce qui est en quelque sorte lié à la cause. Pas sur tous, mais sur un très grand nombre. C’est pourquoi nous disons qu’il est plus judicieux de continuer à faire des recherches dans ce domaine et de mener là des recherches avec l’esprit ouvert, plutôt que de se focaliser tout le temps sur ce thème, qui est complètement réfuté de A à Z. Cela bloque également toute autre connaissance, toute autre recherche, tout autre savoir. C’est aussi une chose que nous critiquons fortement, à savoir que ça limite fortement l’horizon de la connaissance à un thème qui a été réfuté. [Kla.TV :] Est-ce que je comprends bien ? Ni les virus ni les bactéries ne sont responsables de la contagion ? [Marvin Haberland :] C’est vrai. Scientifiquement parlant, si on fait ces expériences avec des virus ou avec ce dans quoi on prétend qu’il y a des virus, là on ne peut pas prouver la contagion. Mais si on fait cela avec des bactéries qu’on peut effectivement voir au microscope, qui existent donc réellement, là aussi, si nous prenons ces bactéries isolées, nous ne pouvons pas provoquer d’infection dans le cadre d’une expérience contrôlée. Par exemple : Si je prends des salmonelles ou d’autres bactéries dont on dit qu’elles sont à l’origine de certains symptômes, je ne peux pas infecter ou contaminer un être vivant sain. Ça ne fonctionne pas. On observe toujours, lorsqu’un être vivant est déjà malade ou symptomatique, que des bactéries (se) multiplient localement en même temps, c’est-à-dire comme un effet secondaire, pour ainsi dire. Mais, pour faire aussi une analogie pour le spectateur, c’est par exemple comme dans le cas de l’incendie d’une maison. Lorsqu’il y a le feu à une maison, je vois généralement ou presque toujours des pompiers sur place. Cela signifie que la corrélation, le lien est très, très élevé. Mais cela ne prouve pas que les pompiers sont aussi à l’origine de l’incendie. Ils apparaissent en même temps que le feu. Et là, il faut donc faire très, très attention aux micro-organismes, aux bactéries, et les regarder de près. Ce n’est pas parce qu’ils apparaissent dans une symptomatologie qu’ils en sont la cause. Car, comme je viens de le dire, si je les retire isolément, les bactéries, et que je les donne à une personne saine qui n’est pas malade, il ne se passe rien. Et c’est en fait la réfutation de l’existence même d’infections ou de contaminations par des micro-organismes, comme par exemple des bactéries. Mais il y a aussi des parasites et des vers. Ça ne fonctionne pas non plus dans ce cas. On ne peut donc jamais contaminer les personnes en bonne santé de cette manière. Ça ne fonctionne pas. [Kla.TV :] Oui, mais en revenant à cette situation de classe. Tous les enfants ne mangent pas la même chose. Ils n’ont pas exactement les mêmes conditions de vie. Comment se fait-il alors qu’ils développent tous la même symptomatologie ? [Marvin Haberland :] Donc, si nous disons que nous avons une symptomatologie similaire dans une classe : Premièrement, ça ne concerne pas toujours tous les enfants, mais seulement quelques-uns. Et nous devons chercher des points communs. Les enfants sont tous dans la même pièce. Ils ont tous les mêmes unités d’enseignement. Ils sont tous exposés aux mêmes conditions climatiques. Ils sont tous exposés aux mêmes conditions environnementales dans cette pièce. Et cela pourrait déjà faire suffisamment de variables ou d’arguments qu’il faudrait alors bien sûr tester dans une expérience raisonnable. Ce serait alors la deuxième étape. Mais nous ne manquons pas d’hypothèses. Exactement. [Kla.TV :] Mais si vous dites que cette existence de ces virus pathogènes n’est pas du tout prouvée et que la science ne sait au fond pas du tout ce qu’elle fait ou ce qu’elle cherche, quel est l’intérêt de mesures préventives comme par exemple les vaccins ? [Marvin Haberland :] Elles pourraient être utiles même sans la détection de virus, si elles montraient un avantage dans une expérience raisonnable. Donc, indépendamment de la question de savoir s’il y a des virus ou non, la vaccination pourrait quand même fonctionner. Et ce n’est pas le cas si on fait maintenant des expériences avec les vaccins. D’abord, la grande majorité des études sur les vaccins ne suivent pas les règles scientifiques, C’est-à-dire qu’on a au moins deux groupes. L’un reçoit le vaccin, l’autre reçoit un placebo approprié. Ensuite, on examine le tableau purement clinique. C’est ce qui s’est passé pour le Covid, par exemple, avec les vaccins Covid. On a donc veillé à ce qu’il y ait aussi un groupe placebo, qui a reçu du sel de cuisine, ce qui n’est pas un placebo approprié en soi. Parce qu’un placebo dans un contrôle négatif raisonnable ne doit en fait se distinguer de la substance active que par une seule variable, afin qu’on ne puisse s’intéresser qu’à cette variable. Dans ce cas, il s’agirait de cette composante virale. Une solution saline diffère du vaccin réel par des centaines de variables. Mais c’est un autre sujet. Qu’est-ce qui a été fait dans ces études sur le Covid pour les vaccins Covid ? Par exemple BioNTech-Pfizer ? On a alors simplement testé les personnes avec un test PCR. Mais si on lit les petits caractères de l’étude, le même nombre de personnes étaient malades dans les deux groupes. Dans ces études, on appelle cela des “cas suspectés de Covid-19”. Ça signifie qu’il y avait à peu près le même nombre de malades. On n’a pas pu faire de distinction dans l’étude clinique réelle. Ça signifie que la vaccination n’a eu aucun effet clinique. Seul le test PCR a été différent. Et là aussi, nous critiquons les vaccins. Leur efficacité contre les maladies n’est pas scientifiquement prouvée. Et pour ajouter quelque chose encore : Si on considère la rougeole, la coqueluche ou d’autres maladies liées aux vaccins, pour lesquelles la médecine traditionnelle argumente que les vaccins ont éradiqué les maladies, on constate que bien avant l’introduction de chaque vaccin dans les statistiques, l’évolution de la maladie était déjà en recul, et ce de manière considérable. Le nombre de cas de rougeole a diminué en Allemagne, parfois de 95 pour cent, avant que la vaccination ne soit introduite. Ça signifie qu’en fait la maladie avait déjà disparu lorsque le vaccin a été introduit. Et également qu’on ne peut faire aucune déduction de ces données C’est pourquoi nous critiquons les vaccins, tout comme nous critiquons la virologie. Et d’ailleurs aussi la plupart des autres médicaments comme inefficaces et non nécessaires. [Kla.TV :] Mais ça ressemble quand même pas mal à une arnaque. Selon vous, tous les virologues et chercheurs médicaux sont-ils alors des escrocs et des personnes mal intentionnées ? [Marvin Haberland :] Non, pas du tout. Nous devons toujours prendre en compte la composante humaine. Car ces personnes ont consacré leur vie à ce sujet, à cette recherche. Ils ont donc des préjugés, une vision déformée, ils ne peuvent pas penser ouvertement et, souvent, toute leur existence dépend de cela. Cela signifie qu’ils ont une famille, des enfants et ainsi de suite, et qu’ils ne peuvent peut-être pas se permettre d’être critiques. Il faut toujours en tenir compte, ça ne fait pas automatiquement d’eux des méchants. On peut déjà reprocher à de nombreux virologues d’être ignorants. Car ils refusent systématiquement nos offres de discussion. Nous recevons parfois des réponses à des questions écrites, mais pas toujours non plus, et il est très, très difficile de s’engager là dans un débat objectif, un débat scientifique. On peut donc leur en vouloir, mais en principe, je ne dirais pas de tous les médecins, virologues et autres que c’est intentionnel. Mais c’est une certaine autoprotection, une certaine ignorance de ce sujet. [Kla.TV :] Les partisans de la théorie virale affirment que les maladies infectieuses n’ont reculé qu’avec l’introduction de l’hygiène, par exemple par Ignaz Semmelweis en gynécologie et Robert Koch avec la théorie des germes. Ne risquez-vous pas alors, par vos déclarations, de réduire ces acquis à néant ? [Marvin Haberland :] Il faut toujours faire la différence. Des mesures telles qu’une meilleure hygiène peuvent avoir un effet, par exemple parce que je laisse moins de matériel étranger pénétrer dans ma blessure ou dans mon corps. Bien sûr, le corps réagit à la saleté étrangère, disons simplement, par une inflammation. C’est très clair et c’est juste. Mais ça n’a pas forcément de rapport avec les virus. Dans le cas de la virologie, l’affirmation est en effet très claire : il existe de petites particules qui déclenchent des maladies et qui en sont la cause. Et je dois le prouver scientifiquement. Je ne peux pas laisser les choses comme ça. Il est certain que l’hygiène améliore les conditions. Mais il y a aussi de fortes restrictions. Par exemple, on a fait beaucoup d’études à l’époque du Covid, ou encore pour la grippe, où on a étudié deux groupes. L’un appliquait des conditions d’hygiène, l’autre non. Ou l’un utilisait des masques et l’autre non. Et dans toutes ces études dites Gold-Standard-RCT, où on a ces deux groupes et où seule une variable diffère, on constate que ni les mesures d’hygiène ni les masques n’ont eu le moindre effet. Les deux groupes ont toujours eu le même nombre de malades, de symptomatiques. Il n’y avait donc pas de différence statistique significative. Et ça réfute également cette hypothèse. Néanmoins, comme je viens de le dire, l’hygiène est bien sûr recommandée pour les plaies ouvertes. Car tout simplement le corps est le plus sain lorsqu’il n’y a pas de substances étrangères dans les tissus. C’est très clair. [Kla.TV :] Et puis, historiquement, il y a aussi ces grandes tentatives de contagion. Oui, entre les deux guerres mondiales. N’en est-il pas ressorti quelque chose qui a conduit à dire qu’il existe d’autres mécanismes pathogènes que les bactéries, des mécanismes qui sont justement dus à ces particules ? [Marvin Haberland :] Il y a effectivement pas mal de tentatives de contagion qui ont été faites dans le passé. A l’époque de la grippe espagnole, oui, mais aussi plus tard avec la rougeole et bien d’autres, la grippe et d’autres maladies. Et je l’ai déjà mentionné au début, ces tentatives échouent toujours. On ne peut donc jamais montrer qu’on peut infecter les gens de manière contrôlée. Ça ne fonctionne jamais. Et au plus tard à ce moment-là on devrait commencer à se creuser la tête et à se dire que quelque chose ne va pas. Les médecins ou le personnel de ces études se sont bien sûr toujours posé la question. Hé, comment est-ce possible ? Voilà, nous essayons d’utiliser les maladies les plus contagieuses de manière expérimentale et ça ne fonctionne jamais. Comment est-ce possible ? Alors bien sûr, on entend des arguments du genre : “Oui, peut-être que les virus n’étaient pas assez concentrés ou peut-être que ces sujets étaient immunisés.” Toutes ces hypothèses sont également valables, ça ne fait aucun doute. Mais le fait est que nous n’avons encore jamais pu démontrer une contagion dans une expérience. Et il faut d’abord laisser ça en place, il faut d’abord digérer ça et il faut d’abord prendre conscience de ça. Et ça réfute tout d’abord l’affirmation selon laquelle nous avons ici même une contagion et qu’elle fonctionne via ces particules. On le voit bien dans ces études avec les masques. Si des masques FFP2 étaient effectivement portés, par exemple, ou s’il y avait des virus, il devrait y avoir un effet. Ou les masques d’hygiène devraient avoir un effet, mais ce n’est pas le cas. Cela signifie donc que nous avons toujours, toujours, sur plusieurs dimensions, sur différentes expériences, des réfutations de la virologie. On peut bien sûr essayer de les maintenir en vie par tous les moyens, et c’est ce qu’on fait, parce qu’il y a beaucoup d’enjeux, beaucoup d’industrie, beaucoup de chiffre d’affaires, beaucoup d’argent, etc. On peut imaginer que si ça commençait à s’effriter, il y aurait un énorme tremblement de terre et on veut naturellement l’éviter. Et nous voulons simplement montrer de manière scientifique, objective, qu’il y a ici d’énormes problèmes, d’énormes contradictions, si on regarde là dans la science et qu’en tant que scientifique on ne peut pas accepter cela. En tant que scientifique critique, on ne peut pas accepter cela comme ça. [Kla.TV :] Cela signifie que les sources sont telles que cette théorie ne tient pas vraiment la route. Vous avez lu vous-même ces sources ? [Marvin Haberland :] Exactement, chez nous à Next Level, je viens de le dire, nous avons eu des échanges de correspondance avec des dizaines d’institutions, plus de 200, avec des virologues. Nous avons fait des interviews, nous avons adressé des demandes à l’Institut Robert Koch et à toutes les autres institutions qui, dans le monde, ont quelque chose à signaler dans ce domaine. Et tous nous confirment qu’il n’y a pas de contrôles négatifs avec des échantillons sains, qu’il n’y a pas du tout de contrôles négatifs lors du séquençage du génome. Donc là, il n’y en a pas du tout. Dire que les expériences de contagion ne sont pas réalisées pour des raisons éthiques par exemple, c’est un argument totalement fallacieux pour se défendre. On pourrait aussi le faire avec les animaux, on le fait d’ailleurs tout le temps avec les vaccins et autres médicaments, mais bizarrement, on argumente ici avec l’éthique. Un spectateur attentif ou une personne à l’esprit scientifique remarquera rapidement qu’il y a d’énormes problèmes dans l’administration des preuves scientifiques et dans la relation de cause à effet. Et pour revenir à ces images ici, à ces structures. Il existe un grand travail de l’Institut Max-Planck pour l’histoire des sciences, réalisé par Karlheinz Lüdtke. Il a étudié les débuts de la virologie et en conclut que ces images posent d’énormes problèmes, car il ne s’agit pas d’images optiques issues du microscope, comme nous le savons, mais ce ne sont pas des images du tout. Ici, on travaille avec un microscope électronique. Les échantillons qu’on place dans ce microscope électronique, dans une chambre à vide, doivent être fortement traités. Ils doivent par exemple être vaporisés avec du métal pour que le courant soit conducteur, et doivent ensuite être congelés ou fixés entre deux plaques de verre avec de la résine époxy. Cela fait déjà énormément d’influences sur ce tissu, ce qui le stresse déjà et pourrait conduire à des modifications. Karlheinz Lüdtke, de l’Institut Max Planck, a lui aussi constaté qu’il existe justement d’énormes problèmes, qu’il y a justement des artefacts – c’est ainsi qu’on les appelle – dans la science. Les artefacts sont justement des résultats ou des éléments qui n’apparaissent qu’en raison de circonstances expérimentales. Et ce ne sont pas des images, ce sont des courants électriques convertis par ordinateur, qui sont ensuite transformés mathématiquement en une image, pour ainsi dire. Et c’est un autre problème. Autrement dit, dans le meilleur des cas, nous avons affaire à des preuves indirectes, mais jamais à des preuves directes. La preuve directe serait : J’ai un malade, j’ai un bien portant, je les mets ensemble, l’un contamine l’autre, et l’autre tombe malade. Je prélève de la salive ou du mucus chez le malade, je donne ce mucus à un individu sain et celui-ci tombe malade. Ce serait une preuve directe. Cela n’existe jamais en virologie. Si on fait ça, ça ne marche pas. Et c’est donc la critique principale de tout cela. [Kla.TV :] Alors résumons le résultat. La science et la recherche feraient bien de garder le débat ouvert. Car il se pourrait que nous soyons victimes d’erreurs fondamentales, peut-être pas seulement en virologie, mais aussi dans d’autres disciplines. Et cela porterait atteinte, comme vous le faites remarquer, aux fondements de la science. Oui, en fin de compte, cela mène à l’absurde. Et ce serait bien sûr une situation dans laquelle nous ne voudrions pas nous retrouver, où nous retournerions à des temps sombres, où l’on ne pourrait pas vraiment prouver les choses de manière valable. Monsieur Haberland, je vous remercie pour cet entretien.. Et j’invite les téléspectateurs à vérifier toutes mes affirmations sur notre site Internet wissen-neu-gedacht.de. Nous avons publié de nombreuses publications avec toutes les correspondances et toutes les sources, ainsi que de nombreuses procédures judiciaires dans ce domaine. Et oui, nous avons aussi une application, Nexiqa, [https://nexiqa.com/] où l’on peut justement explorer tous ces thèmes par le procédé ChatGPT “question – réponse”, et lire toutes ces publications virologiques avec une sorte d’aide. Ce à quoi je peux reconnaître exactement dans la publication que la science a été méprisée, violée ou encore dans les échanges de correspondance avec les virologues, etc. On y trouve beaucoup d’informations. [Kla.TV :] Très bien, alors c’est au téléspectateur de vérifier lui-même les faits et de vous poser des questions. Merci beaucoup. [Marvin Haberland :] 

                                      

Sources/Liens :                                            Site web de Next Level

www.wissen-neu-gedacht.de

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